Épilogue Trois ans plus tard, on se rappelle notre face-à-face convivial et spontané dans le bureau de Claude Eerdekens. Une petite pièce aux plafonds hauts, mais sans flonflon. Une table, un poste de travail, une armoire Kewlox personnalisée avec une photo de l’hôtel de ville, quelques bricoles en verre dont un coq souvenir de son épisode ministériel, une main en bronze de la 40e soirée du Gant d’Or de 2012 et, aux murs, des caricatures et des dédicaces de Kroll et de Geluck, une partition encadrée de l’opéra de Mozart, « Le nozze di Figaro », et un portrait de
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