IV. Sexus politicus Selon un témoin socialiste, Claude Eerdekens est « un libertaire. Il ne supporte pas l’idée que le bien collectif doit passer par un peu de discipline personnelle. Il veut jouir sans retenue de tout ce qu’il désire, y compris la nature, les femmes et la picole. » C’est ce qui explique ses dérapages envers ceux qu’il considère comme des « intégristes » écologistes ou religieux. Deux anciennes conseil-lères communales de l’opposition décrivent un homme grossier, graveleux, tantôt mielleux, tantôt violent. « Avec les femmes, c’est pire, il est condescendant, misogyne ou phallocrate, ça dépend des jours. Il
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